Saint Denis Rando et cyclo

Patrimoine rural, empreintes religieuses, villages et hameaux typiques que nous avons découverts au cours de cette randonnée, la dernière de notre calendrier hivernal.

32 marcheurs (euses) au départ de Coligny, il nous aura fallu gravir les contreforts du Revermont et ses collines accueillantes par cet après-midi ensoleillé.

Après la trace de Salavre, le chemin devient un rude sentier et traverse une châtaigneraie.

Une large vire sécurisée par une main courante scellée à la paroi, conduit à une grotte, nous terminons vers 2 curieuses madones installées dans des niches vitrées.

Un passage escarpé à la base des roches nous emmène au hameau de Dinger avec sa chapelle et son calvaire à personnages du XVe, son ancienne fontaine au toit de lauzes.

Nous évitons un A.R à la borne frontière de 1613. Au lieu-dit “La Chassagne”, une jolie piste dans les pâturages de "La Mouria" permet de rejoindre le Mont Verjon (496m).

Le sentier qui zigzague descend dans le coteau en offrant de belles vues sur la plaine de Bresse et sur le village de Verjon que domine "N.D de la paix" d'où l'on bénéficie d'un joli coup d'oeil sur les environs.

A Verjon, moulin avec sa roue à aubes et lavoir sur le Solnan.

Une agréable piste conduit à Salavre et son superbe clocher récemment restauré, avant de visiter l'ondoyante prairie du village afin de rejoindre Coligny.

Place maintenant aux belles randos de printemps et beaux projets de sorties estivales.

La marche procure d'agréables bienfaits : en premier lieu, elle permet de se vider la tête, quand on marche, on ne fait rien d'autre, on écoute, on souffle, on est aux prises avec le paysage et on se sent humble, je trouve, face aux panoramas qui s'offrent.

Les chemins et sentiers sont les veines de nos régions, ne l'oublions pas.

Georges R

D'autres photos dans le dossier liens, merci Guy B pour le complement.

 Temps peu engageant à l’heure du départ pour cette randonnée à destination d’Ambérieu en Bugey.

Aussi, nous ne sommes que 10 partants, dommage, car l’apparition du soleil nous a vite fait oublier un bref épisode de giboulée et ce fut globalement un bel après-midi.

Premier objectif de la randonnée : le site des ruines du château de Saint-Germain avec une belle vue sur Ambérieu, Bettant, la vallée de la Valserine et la Plaine de l’Ain.

Ce château, construit au 12ème siècle par les sires de Coligny joua un rôle majeur dans l’histoire du conflit Dauphiné-Savoie et également durant les guerres des 13ème et 14ème siècles.

Deuxième objectif : le lac bleu (plutôt vert en ce jour), sa couleur particulière, qui varie selon la luminosité, serait dû à des résidus d’une ancienne cuivrerie située en amont.

Une passerelle nous permet de traverser le petit barrage pour emprunter le sentier descendant derrière l’ancien moulin à foulon (qui servait à fouler les tissus) et d’admirer de belles chutes d’eau.

Tout en longeant le Gardon, nous partons en direction du hameau de Vareilles que nous traversons avant de regrimper vers la tour de Gy pour retrouver le chemin du retour aux voitures.

450 m de dénivelé pour cette marche de 3h15 pimentée par un passage quelque peu délicat sur un sentier d’abord creusé d’ornières puis transformé en un véritable petit ruisseau.

Odette M

D'autres photos dans le dossier Liens, merci Odette M.

Par cet agréable après-midi ensoleillé de mars, 27 licenciés au départ pour la marche de Lurcy, village du Val de Saône situé en face du Beaujolais, à quelques kilomètres de la Saône.
Un circuit à travers champs et encore quelques ceps de vignes témoignant du passé viticole de la région nous conduit d’abord à Amareins, à proximité du château et de son étang puis à la chapelle St Pierre St Paul de style roman du 11e siècle dont la dernière restauration date de 1960, chapelle qui dépendait de l’abbaye de la Chaise-Dieu.

Nous poursuivons à travers la campagne en passant devant le château de Lurcy (14e siècle) pour arriver en bordure de Saône et emprunter le chemin de halage sur 1 km jusqu’à la hauteur de Messimy sur Saône dont nous rejoignons le cœur de village où nous pouvons admirer un troisième château joliment restauré.

Nous prenons ensuite la direction du retour en empruntant la passerelle sur la Mâtre, rivière qui se jette plus loin dans la Saône.
Après avoir parcouru 13 km avec 150 m de dénivelé, nous voici arrivés au point de départ au parking de l’église de Lurcy.

Odette M

D'autres photos dans le dossier Liens, merci Jacques M pour le complément.

Nous étions 28 participants à cette randonnée de Cuisiat, avec un départ du camping, nous partons avec un ciel voilé, mais la pluie ne sera pas de la partie.

Nous traversons le camping de la Grange du Pin vidé de ses occupants en cette période d'hiver, mais bien vivant dès le début mai, très bien aménagé, il fait le bonheur de nombreux Burgiens.

Arrivés au bord du lac, mauvaise surprise, le niveau de l'eau est au plus bas, pour bien connaître le site, je pense qu'il manque 2 mètres d'eau pour atteindre la normale.

Le manque d'eau est vraiment flagrant.

Qu'en sera-t-il cet été s'il ne pleut pas?

Nous apprécions le site depuis la passerelle, où l'été les baigneurs, pêcheurs ou simples promeneurs cohabitent.

Nous atteignons le village de Cuisiat avec son musée du Revermont et admirons la rénovation de l'ancien presbytère très réussie.

Descente, puis remontée bien évidemment sur le village de Pressiat, qui a connu les exactions de la dernière guerre et a été incendié partiellement.

Le temps de regarder les menus à l'auberge du mont Myon et retour par les sentiers à travers champs et forêts jusqu'à notre parking.

Un bel après midi, avec 12km de marche en trois heures d'efforts, la bonne humeur a régné tout au long du parcours.

Daniel C.

D'autre photos dans le dossier Liens, merci Philippe F pour le complément.

Petite rando ce dimanche 5 février pour 14 marcheurs avec cette question très philosophique : va-t'il pleuvoir et si oui à quelle heure ?

En attendant la réponse, le soleil nous accompagne une bonne partie de la sortie. Après avoir visité la grotte des fées, absentes à cette heure-là, nous sommes redescendus vers Meillonnas.

Petite visite de ce charmant village possédant un savoir-faire très ancien en matière de faïence datant de 1760 et de belles maisons de pierre, certaines à colombages. Roger Vailland à vécu les dix dernières années de sa vie dans l'une de ces maisons avec son épouse Élisabeth, non loin du château-fort du XIV siècle.

En traversant le parc du château, les premières gouttes de pluie font leur apparition... à moins que ce ne soient des larmes de fée ?

Peu importe nous sommes à quelques mètres des voitures !

Pascale B

D'autres photos dans le dossier Liens, merci Philippe F.